Inspiré du livre de Michel Jean sur l'histoire déchirante de l'enlèvement d'enfants des Premières Nations dans leurs villages, des mauvais traitements dans les pensionnats et du chemin vers la guérison des années plus tard. Les villages de tentes existaient encore dans les années cinquante dans la belle forêt. Les avions les plus utilisés étaient des cargos Bristol 170. Les écoles étaient isolées et désolées, d'où les teintes noires et blanches. L'espoir est une scène estivale radieuse avec un logo de la journée nationale de la réconciliation. La première fermeture éclair reste ouverte au milieu symbolisant le trou laissé par la rupture, la seconde peut être ouverte ou fermée pour symboliser le va-et-vient dans les démarches de réconciliation.